L'encre, pourquoi ?

Livrer sa vie à une inconnue pour en faire un livre, quel étrange exercice. Au-delà des faits, des dates et des décors, notre vérité se loge dans nos impressions intimes, en-dessous de notre peau, au-deçà du langage.

Dans un processus qui s’apparente à la maïeutique de Socrate, je vous propose une expérience échappant à toute étiquette et s’inscrivant dans ce que nous avons de plus humain.

 

Délivrer

Des émotions et des sentiments ont été ressentis intensément, ils pèsent encore très lourds. Je ne suis pas psychologue, vous ne serez donc pas mon patient. Je ne me pose pas en sauveur. Mais je crois au pouvoir salvateur des mots. Ceux que je vous aiderai à me confier, m’engageant à vous guider en douceur et sans jugement. Ceux que je trouverai pour restituer avec respect votre parole sur le papier. La confiance que vous m’accorderez, alliée à la qualité de mon écoute, donneront naissance à un livre. Celui-ci vous appartiendra. Vous pourrez y revenir si nécessaire. Ou le classer dans la bibliothèque de votre vie et, plus léger, avancer.

Transmuter

Le livre étant un objet, votre histoire va pouvoir exister en dehors de votre corps et de votre esprit. C’est la magie de l’écriture : transformer en matière l’évanescent et l’intangible. Peut-être aurez-vous converti au passage certaines ombres qui vous hantaient. Celles-ci s’agenceront alors en lignes bien ordonnées. C’est l’alchimie du processus autobiographique : quelques pages suffisent parfois à extraire la beauté logée dans la souffrance.

Transmuter

Le livre étant un objet, votre histoire va pouvoir exister en dehors de votre corps et de votre esprit. C’est la magie de l’écriture : transformer en matière l’évanescent et l’intangible. Peut-être aurez-vous converti au passage certaines ombres qui vous hantaient. Celles-ci s’agenceront alors en lignes bien ordonnées. C’est l’alchimie du processus autobiographique : quelques pages suffisent parfois à extraire la beauté logée dans la souffrance.

Révéler

La vie s’écrit à l’encre sympathique : tant que le langage n’a pas donné sens au magma du vécu, celui-ci demeure illisible. Prendre le temps de s’arrêter et de formuler le chemin parcouru génère des prises de conscience, donc des changements de perspective : sur le passé, le présent, donc sur l’avenir. Mon rôle est également d’éclairer tout ce que vous ne dites pas et que vous désirez exprimer. Vous choisirez ensuite ce que vous souhaitez garder. Ou ce qui restera entre vous et moi. Ce que vous transmettez sera l’expression de votre vérité, mais pourra aussi servir à inspirer et soutenir d’autres personnes. Nous sommes chacun singulier, nous sommes tous semblables. 

« C’est ce qui échappe aux mots que les mots doivent dire. »

Nathalie Sarraute

Résister

Pris de vitesse, saturés d’informations virtuelles et éphémères, désarçonnés par des bouleversements proches comme lointains, nous devons faire face à la fragmentation de notre quotidien. Écrire sa vie, c’est aussi tenir bon. Envers les temps actuels, envers le temps qui passe. Contre le virtuel qui nous avale tous. Contre l’oubli, d’une génération à l’autre. Que restera-t-il des mots que l’on échange avec frénésie sur les réseaux, de boîte à boîte mail, de sms en sms ? Les canaux se multiplient, mais les clouds sont des nuages qui passent loin de nous. Ironiquement, le matériel devient une garantie plus certaine contre le travail de détérioration du temps. Le livre existe, du latin « ex » et « sistere » : sortir, se manifester, se montrer. Il atteste et témoigne. Il est solide. S’écrire, c’est aussi s’écrier en silence, pour paraphraser Margarite Duras. Montrer qu’on a vécu et affirmer qu’on vivra encore.

Résister

Pris de vitesse, saturés d’informations virtuelles et éphémères, désarçonnés par des bouleversements proches comme lointains, nous devons faire face à la fragmentation de notre quotidien. Écrire sa vie, c’est aussi tenir bon. Envers les temps actuels, envers le temps qui passe. Contre le virtuel qui nous avale tous. Contre l’oubli, d’une génération à l’autre. Que restera-t-il des mots que l’on échange avec frénésie sur les réseaux, de boîte à boîte mail, de sms en sms ? Les canaux se multiplient, mais les clouds sont des nuages qui passent loin de nous. Ironiquement, le matériel devient une garantie plus certaine contre le travail de détérioration du temps. Le livre existe, du latin « ex » et « sistere » : sortir, se manifester, se montrer. Il atteste et témoigne. Il est solide. S’écrire, c’est aussi s’écrier en silence, pour paraphraser Margarite Duras. Montrer qu’on a vécu et affirmer qu’on vivra encore.

Du singulier à l’universel :
notre unité

Si une seule note vient à manquer, la mélodie est fausse. N’en déplaise aux assurances en tout genre, la valeur d’une vie demeure inestimable. Offrir à lire votre singularité, c’est donner à toucher votre cœur, en cet endroit où nous sommes tous reliés. C’est une proposition de fraternité ou de sororité. C’est participer au maillage du monde. Celui de demain s’en souviendra.

« Nous sommes ici pour rire du destin et vivre si bien notre vie que la Mort tremblera et craindra de nous emporter.
Nous sommes ici pour lire les paroles de tous ces hommes et de toutes ces femmes sages qui disent que nous sommes ici pour des raisons différentes et pour la même raison. »

Charles Bukowski

Différents types de biographies

Écrire
la perte

Livre de vie atypique

Livre de vie
d'artiste

Livre de vie romancée

Me contacter pour parler de votre projet

Veuillez activer JavaScript dans votre navigateur pour remplir ce formulaire.
Votre prénom et nom